Il s'agit d'un catalogue révolutionnaire « NO PASARAN ». Ils vendent des tee-shirts, badges, autocolants et autres produits dérivés ; aux slogans engagés.
NO PASARAN, est un groupe libertaire des résistances sociales : antifascisme, antisécuritaire, contre le productivisme, le capitalisme, les exclusions, luttes sociales, solidarité internationale...
C'est un mouvement de jeunesse liés à la scène du rock alternatif.
La cible de mon projet est agée de 15 à 20 ans, soit pour la plupart en pleine crise d'adolescence.
C'est une période où on commence à se construire une personalité. On se « rebellise » contre l'autorité, entre autre celle de ses parents. C'est un âge où on cherche des icones, des personnes, des idéologies auquels s'identifier.
NO PASARAN est pour certains jeunes du bocage Bressuirais, une philosophie de vie. Ils sont sensible à ses engagements et ce qui représente, la liberté, le non-formatage. Il faut aussi parler de musique. Les goûts musicaux de la majorité de ces jeunes sont révélateur, loin d'être la tektonique ou la variété française, ils affectionnent le punk ska festif, le rock ou encore le métal.
Pour communiquer sur leurs idées, NO PASARAN font appel à des slogans illustrés par des pictogrammes, des symboles forts comme le "A" d'anarchie, l'étoile, la poignée de main pour la solidarité ou encore la croix gammé jeté à la poubelle.
Cependant certains de ces symboles perdent de leur signification à cause de leur trop plein d'utilisation comme par exemple l'étoile. Celle ci est plus souvent associer, surtout en ce moment, à la star academie ; émissions de télé-réalité surement dénigré par ces jeunes adeptes de NO PASARAN. Elle évoque aussi le pentagramme, le mysthique, l'étrange avec certaines séries comme Charmed ou encore la magie avec Harry Potter. Même le "A" d'anarchie perd de son sens car trop de jeunes la revendique sans réellement adhérer à cet idéologie, mais la porte, l'utilise plus par effet de mode. Car ce coté "rebelle" est devenue commerciale, ca fait vendre.
site No Pasaran
lundi 4 février 2008
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